État des lieux de l’enseignement du français
Date de soumission : 04/09/2015
LVE 1 (préciser) | LVE 2 (préciser) | LVE 3 (préciser) | LVE 4 (préciser) | Commentaires | |
---|---|---|---|---|---|
Primaire | anglais | russe | allemand | ||
secondaire | anglais | russe | allemand | ||
Supérieur | anglais | russe | allemand |
LVE 1 (préciser) | LVE 2 (préciser) | LVE 3 (préciser) | LVE 4 (préciser) | Commentaires | |
---|---|---|---|---|---|
Primaire | 109158 80,9% | 48220 35,7% | 15780 11,7% | 134975 apprenants au total | |
secondaire | |||||
Supérieur |
2.3. Effectifs des apprenants de français*
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
---|---|---|
1637 | 2207 |
On peut commencer l'enseignement du français déjà à l'école primaire, soit 2 ou 3 ème année de scolarité. D’après le curricula, 1 LE commence 3 année de scolarité. Mais les établissements peuvent prendre la décision de commencer plus tôt.
Le curricula national fixe le minimum d'heures enseignés par cycle:
LVE1 - commence en primaire,cycle I, en fonction de 3 leçons par semaine, au II cycle (classes 4-6) 9 leçons, d'habitude 3 leçons par semaine; III cycle (classes 7-9) 9 leçons, 3 leçons par semaine et IV cycle (lycée) 9 leçons.
LVE2 - commence au II cycle (6ème classe) 3 lecons, III cycle (classes 7-9) 9 leçons, d'habitude 3 leçons par semaine et IV cycle (lycée) 9 leçons.
Les établissements peuvent commencer plus tôt et augmenter le nombre des leçons.
LVE1 - commence en primaire,cycle I, en fonction de 3 leçons par semaine, au II cycle (classes 4-6) 9 leçons, d'habitude 3 leçons par semaine; III cycle (classes 7-9) 9 leçons, 3 leçons par semaine et IV cycle (lycée) 9 leçons.
LVE2 - commence au II cycle (6ème classe) 3 lecons, III cycle (classes 7-9) 9 leçons, d'habitude 3 leçons par semaine et IV cycle (lycée) 9 leçons.
Les établissements peuvent commencer plus tôt et augmenter le nombre des leçons.
3.1.1. Enseignement public
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
---|---|---|
3.1.2. Enseignement privé
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
---|---|---|
22 | 42+30 |
Autre langue 1 (préciser) | Autre langue 2 (préciser) | Autre langue 3 (préciser) | Commentaires | |
---|---|---|---|---|
Primaire | ||||
secondaire | ||||
Supérieur |
3.5.1. Établissements nationaux
Désignation | Cycles (niveaux) | Nombre d’élèves |
---|---|---|
Ecole Européenne de Tallinn | préscolaire | 8 |
Nombre total d’apprenants
Préscolaire | Primaire | Secondaire |
---|---|---|
3.5.2. Cursus professionnels en français (à extraire du total mentionné ci-dessus en précisant leur objet : hôtellerie, tourisme…)
Intitulé du certificat | Effectif |
---|---|
3.5.3.1. Quel est l’effectif concerné par niveau ?
Niveau | Nombre d’heures/semaine | Effectif |
---|---|---|
Grande section | 15 | 8 |
Petite section | 15 | 8 |
3.5.3.2 Quelles sont les DNL (disciplines non linguistiques) proposées en français ?
Niveau | Nombre d’heures/semaine | Effectif |
---|---|---|
Lycée | Le guide | 1 |
Lycée | La civilisation et culture des pays francophones | 1 |
Lycée | La géographie |
3.6. Établissements français
Primaire | Secondaire | Supérieur |
---|---|---|
3.7. Autres établissements internationaux (en dehors des établissements homologués par la France)
Désignation | Statut (public, privé, étranger) | Nombre d’élèves |
---|---|---|
Ecole Internationale Estonienne | privée | 111 |
Oui
Le curricula national en 2011
Oui
Oui
Oui
Dans le curricula, à l'annexe où on précise les thèmes à traiter par niveau, il y a aussi des parties concernés à la francophonie ou aux pays francophones. Par contre, comme en Estonie, aux établissements scolaires on travaille la majorité de cas avec les manuels édités en France, on utilise le plus souvent des références qui sont données par les éditeurs.
Pas d’information précises, mais plutôt oui : c'est parmi les thèmes de curricula national; c'est dans les manuels; les apprenants sont intéressés par d'autres cultures francophones.
Pas d’information précises, mais plutôt oui : on connait bien Apprendre et enseigner avec TV5monde, beaucoup de professeurs ont passé un stage en France, aussi à CAVILAM; on aime bien utiliser les ressources en ligne, surtout les jeunes professeurs et les professeurs qui travaillent seule loin de la capitale.
Pas d’information précises, mais plutôt oui: dans la majorité d'établissement on favorise l'apprentissage en utilisant les TICE. Alors chaque professeur a ses habitudes et ses liens préférés. Il existe un page-web estonien-“Miksike“ où les professeurs peuvent mettre mais aussi trouver des choses pour chaque matière, y compris pour le français.
Grâce à Internet chaque professeur qui veut parler de la francophonie peut trouver des matériaux. Dans ce contexte, il s'agit plutot comment ils gèrent leur programme de classe.
5.1. Nombre
Primaire | Secondaire | Supérieur |
---|---|---|
16 | 68 | 18 |
100
3
Non
Le plus souvent d'autres langues (anglais, russe, allemand), mais aussi de la géographie, de la musique, des arts etc.
Oui
Une grande partie des professeurs de langues travaillent aussi comme les interprètes ou guides, surtout en été. Il y a aussi ceux qui travaillent à coté dans le secteur privé, ou donnent eux-mêmes les cours privés, etc.
Oui
Catégorie I - 715 euro/mois
Catégorie II - 736 euro/mois
Catégorie III - 889 euro/mois
le salaire médian (II semestre de 2013) – 705 euro/mois
Jusqu'ici il y avait trois catégories de salaires minimum fixés, dont le premier - «professeur» - était le plus répandu, le deuxième «professeur expérimenté» représente moins qu'un tiers de professeurs, et le catégorie le plus élevé «professeur-expert» moins que 10% de nombre total des professeurs.
Catégorie II - 736 euro/mois
Catégorie III - 889 euro/mois
le salaire médian (II semestre de 2013) – 705 euro/mois
Jusqu'ici il y avait trois catégories de salaires minimum fixés, dont le premier - «professeur» - était le plus répandu, le deuxième «professeur expérimenté» représente moins qu'un tiers de professeurs, et le catégorie le plus élevé «professeur-expert» moins que 10% de nombre total des professeurs.
En Estonie, pour travailler comme professeur, le diplôme universitaire niveau master est obligatoire. La majorité des professseurs de français en Estonie ont fait leurs études dans les universités estoniennes à Tallinn ou à Tartu. Il y a aussi ceux qui ont fait d'autres études que le français et ont plus tard passé des formations supplémentaires pour avoir le seconde diplôme.
En Estonie, c'est le directeur / la direction de l'établissement scolaire qui choisit et décide. D'habitude on lance l'appel au concours aux places vacantes, mais le plus souvent les directions cherchent par des contacts personnels ou ceux des professeurs de l'établissement. Chaque année on s'adresse aussi à l'association avec la demande d'aider trouver un professeur de français. Au cas où on n'arrive pas trouver un professeur experimenté et diplomé, les établissements engagent aussi des étudiants des dernières années comme les professeurs avec un contrat de travail limité à un an.
Oui
Oui
Oui
Par des sessions de courte durée, sur les thèmes spécifiques liés à l'enseignement du francais et de la culture et civilisation des pays francophones ou de l'enseignement des langues plus largement.
Oui
Tableau départements francais
Désignation | Effectifs année 1 | Année 2 | Année 3 | Année 4 et + |
---|---|---|---|---|
Université de Tartu | ||||
Université de Tallinn | ||||
Oui
Tableau instituts formation
Désignation | Effectifs année 1 | Année 2 | Année 3 | Année 4 et + |
---|---|---|---|---|
Université de Tartu Département des langues roman | max 22 | max 22 | max 22 | |
Université de Tallinn Département des langues et c | max 10 | max 10 | max 10 | |
Culturelle |
Économique |
Démocratique |
Autres |
L'amour pour la langue et culture française.
L'envie de travailler comme professeur (de langues).
La certitude d'avoir toujours du travail.
L'envie de travailler comme professeur (de langues).
La certitude d'avoir toujours du travail.
La réputation de la langue française comme une très belle langue, quoique difficile.
Le gage de trouver un (meilleur) poste de travail en Estonie et ailleurs (par ex: auprès des institutions européennes).
Avoir un avantage et un outil de communication de plus, afin de voyager, participer aux échanges, trouver du travail.
Le gage de trouver un (meilleur) poste de travail en Estonie et ailleurs (par ex: auprès des institutions européennes).
Avoir un avantage et un outil de communication de plus, afin de voyager, participer aux échanges, trouver du travail.
En Estonie, selon les statistiques, il nous manque, systématiquement et de plus en plus, des spécialistes en cette langue, y compris des professeurs à bon niveau.
Le minstère de l'éducation estonien, de son coté, est intéressé d'avoir de jeunes professeurs bien formés. Alors il est fort possible que, dans les années à venir, ils vont travailler encore plus en cette direction. Pour le moment, il se passe un grand reforme au niveau des universités, initié par le ministère de l'éducation qui concerne sutout le système de financement des universités et le soutiens des études des étudiants. Les universités, parallèlement, sont à leur tour en train de reorganiser le système de formation de professeurs.Tout cela va aussi influencer la formation initiale de (futur) professeurs de français.
Le ministère de l'éducation a aussi initié l'élaboration du nouveau système d'agrégation des professeurs qui doit, à partir du 1 janvier 2014, remplacer l'ancien système. L'association a participé activement dans ce groupe travail. L'idée majeure de ce projet est d'encourager les professeurs à prendre plus de responsabilité personnelle à leur formation continue et l'épanouissement professionnel.
Le ministère de l'éducation a aussi envie d'avoir, plus qu'avant, du contrôle sur la formation continue de professeurs. Le travail est partie en deux sens : plus de contrôle sur la circulation de l'argent prévu à la formation continue et l'enforcement des centres de formation continue auprès des universités.
Toutes ces démarches vont directement influencer la situation des professeurs de français et l'enseignement du français en Estonie.
Le minstère de l'éducation estonien, de son coté, est intéressé d'avoir de jeunes professeurs bien formés. Alors il est fort possible que, dans les années à venir, ils vont travailler encore plus en cette direction. Pour le moment, il se passe un grand reforme au niveau des universités, initié par le ministère de l'éducation qui concerne sutout le système de financement des universités et le soutiens des études des étudiants. Les universités, parallèlement, sont à leur tour en train de reorganiser le système de formation de professeurs.Tout cela va aussi influencer la formation initiale de (futur) professeurs de français.
Le ministère de l'éducation a aussi initié l'élaboration du nouveau système d'agrégation des professeurs qui doit, à partir du 1 janvier 2014, remplacer l'ancien système. L'association a participé activement dans ce groupe travail. L'idée majeure de ce projet est d'encourager les professeurs à prendre plus de responsabilité personnelle à leur formation continue et l'épanouissement professionnel.
Le ministère de l'éducation a aussi envie d'avoir, plus qu'avant, du contrôle sur la formation continue de professeurs. Le travail est partie en deux sens : plus de contrôle sur la circulation de l'argent prévu à la formation continue et l'enforcement des centres de formation continue auprès des universités.
Toutes ces démarches vont directement influencer la situation des professeurs de français et l'enseignement du français en Estonie.
Notre rêve c'est que les professeurs de français ne doivent plus travailler à multiples postes ou avoir 30 heures de cours par semaine pour arriver à survivre – il faut apprendre à valoriser les ressources humaines et retablir le système qui permet aux professeurs d'avoir le temps à se former, se cultiver et s'occuper de sa famille, avoir une vie privée (Blague «Mon adresse? Mais c'est à mon école.... ») On se dirige petit à petit à ce sens-là mais trop lentement. En attandant, les professeurs de langues partent de l'Estonie ou changent du travail...
Il faut que dans la societé estonienne la profession du professeur soit valorisée – moralement et aussi financièrement et que le gouvernement prennent finalement des responsabilités, pas par des longues dicours avant des élections, mais aussi par les démarches réelles et rapides.
Il faut que dans la societé estonienne la profession du professeur soit valorisée – moralement et aussi financièrement et que le gouvernement prennent finalement des responsabilités, pas par des longues dicours avant des élections, mais aussi par les démarches réelles et rapides.
Dans la majorité des écoles en Estonie on a des condition physiques de travail plutôt à bon niveau: les bâtiement et les salles de classes sont renouvelés et propres, il y a d'habitude toute la téchnique nécessaire, y compris la connection Internet.
Le problème se pose dans les établissements scolaires où le parc techniqe est déjà assez vieilli – et cela dépend souvent de savoir-faire du directeur.
Par contre, toutes les reformes permanentes en éducation ont rendu l'atmosphère dans les salles de professeurs de plus en plus pesant et incertain. Par exemple, à partir de janvier 2014 les professeurs ont le droit et l'obligation de négocier eux-mêmes leur salaire avec le directeur / la direction. C'est presque tout de suite, mais il n'y a pas suffisemment d'explications comment le nouveau système doit marcher, quel seront les risques et les avantages de point de vue des professeurs etc. Le ministère ne donne que des réponses vagues aux professeurs et à leurs assocations.
Normalement, jusqu'ici, l'atmosphère interne d'un établissement scolaire en Estonie est assez calme, mais le nombre d'enfants qui posent de vraies problèmes à toute équipe pédagogique augmente chaque année. Et l'école en Estonie n'est pas encore suffisemment préparée à acueillir des élèves d'origine d'autres nationalités et d'autres cultures.
Le problème se pose dans les établissements scolaires où le parc techniqe est déjà assez vieilli – et cela dépend souvent de savoir-faire du directeur.
Par contre, toutes les reformes permanentes en éducation ont rendu l'atmosphère dans les salles de professeurs de plus en plus pesant et incertain. Par exemple, à partir de janvier 2014 les professeurs ont le droit et l'obligation de négocier eux-mêmes leur salaire avec le directeur / la direction. C'est presque tout de suite, mais il n'y a pas suffisemment d'explications comment le nouveau système doit marcher, quel seront les risques et les avantages de point de vue des professeurs etc. Le ministère ne donne que des réponses vagues aux professeurs et à leurs assocations.
Normalement, jusqu'ici, l'atmosphère interne d'un établissement scolaire en Estonie est assez calme, mais le nombre d'enfants qui posent de vraies problèmes à toute équipe pédagogique augmente chaque année. Et l'école en Estonie n'est pas encore suffisemment préparée à acueillir des élèves d'origine d'autres nationalités et d'autres cultures.